La colline du Village avec son ciel actif du soir (ce dimanche 28 avril).

   C'est le ciel qui appelle le regard dans des scènes époustouflantes dont la photographie ou l'activité en cours lors de l'observation ne peut pas toujours rendre compte.

   Hier, pour exemple, dans un doublé nuageux à l'ouest de Plémet, dans la direction de Loudéac, la proche volée d'éoliennes surnageait dans un univers blanc vaporeux inédit, pieds dans le brouillard laiteux de la vallée, têtes sur un fond immaculé, comme en partance (leur meilleur futur ?).

   On se satisfera aujourd'hui des "mirages" locaux.

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   Ce matin du 28 avril 2024.

   Dimanche matin très agréable, lumineux sous une brise délectable.

   Les signes de l'humidité prépondérante depuis des mois (comme les champignons) ouvrent la place à des figures d'éclat végétal animé que les cycles atmosphériques mouvementés emportent vite dans leurs cieux - parfois capiteux.

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    Derrière la frondaison basse d'un pommier (le 19-04-2024).

  Prendre de la hauteur grâce au prêt d'une double échelle d'aluminium étroite et légère - divin outil ! pour retirer un pied de gui invasif (détail d'une des petites conquêtes réconfortantes de la semaine), ou par un simple déplacement de service aux alentours faits de collines (le nom de la commune de Bröons reflète ce relief), ou de sa taille d'Homme, dressée (ou non !), à la vision cardinale...

   Et balayer le pourtour du regard, embrasser l'espace, le sol - majeur !, indécrottable !? -, délavé de pluies hier, alors que celles-ci n'ont toujours pas cessé leurs passages si lassants.

   Question d'horizons.

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   Soleil du soir sur le pignon de la vieille maison, derrière le dernier cerisier spontané (13-04-2024).

   Pour couronner la parenthèse météorologique bienfaisante de cette fin de semaine de mi-avril (le retour des nuages et du froid prévu dès dimanche est arrivé), un petit tour en soirée (samedi) a continué de réchauffer ce qui bat, sommeille et s'emballe régulièrement...

   Cœur, ou pigeon, ou l'ensemble !

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   Le tronc du noyer dans le bain de lumière tombante (le 12-04-2024).

   Ambivalence, écrivais-je récemment, difficulté à avancer les tâches en extérieur sous un ciel changeant entre averses et coups de vent, et dans un contexte de transition professionnelle laborieuse.

   La nouvelle parenthèse de chaleur de cette fin de semaine d'avril, avec un ensoleillement extraordinaire (l'anormale rareté a ajouté à l'appréciation hyperbolique factuelle) a permis de se rapprocher de la conclusion de certains nettoyages en attente (commencés en janvier, de mémoire) et laisser la beauté se glisser incidemment, dans la surprise et la joie pures...

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